En matière de crise sanitaire, le principe de précaution prime ! C’est ce qui pousse aujourd’hui les instances politiques à généraliser le port du masque, dans les lieux publics clos, les bureaux, et, de plus en plus, les centre-villes…
Or, même de la part de ceux dont le métier en impose depuis longtemps l’usage, le même écho se fait entendre : porter un masque, ce n’est pas agréable. Comment rendre cette épreuve plus supportable ? Voici trois conseils utiles…
Le nec plus ultra en matière de filtration des particules, c’est le FFP2. Malheureusement, c’est un masque qui oppose une certaine résistance au flux respiratoire. A contrario, le masque en tissu est plus agréable à porter, mais moins sûr sur le plan sanitaire. On vous conseille l’entre-deux : le masque chirurgical jetable, à la fois assez efficace et assez confortable.
Rien de plus désagréable pour les porteurs de lunettes que la buée qui se dépose sur les verres quand on respire dans son masque. Pour l’éviter, on l’ajuste bien, et l’on n’hésite pas à se procurer un petit spray anti-buée : généralement, c’est assez efficace…
Toutes les heures, pensez à prendre un peu l’air. Attention, on essaie de ne pas manipuler le masque outre-mesure, et on se lave bien les mains avant et après la pause…
Et rappelez-vous : personne n’aime porter le masque. Mais personne non plus n’aime voir un de ses proches succomber à une maladie potentiellement mortelle. Respectez le principe de précaution : portez le masque.